L'art de perdre
Comment faire ressurgir un pays du silence ? / Alice Zeniter / Sabrina Kouroughli
01/09
Naïma travaille dans une galerie d’art à Paris quand les attentats résonnent comme un électrochoc : cela la renvoie à sa peau mate, à ses cheveux bouclés, à ses origines, au silence de son père, et à la honte de son grand-père harki. À travers la relation qui lie Naïma à sa grand-mère, la gardienne du temple, elle reconstitue le puzzle de sa famille et interroge ses racines pour se reconstruire ! Non sans humour, les anecdotes familiales se succèdent et permettent à Naïma de se sentir apaisée.
Distribution
Texte Alice Zeniter
Mise en scène et adaptation Sabrina Kouroughli
Avec Fatima Aibout, Sabrina Kouroughli et Issam Rachyq-Ahrad
Collaboration artistique Gaëtan Vassart
Dramaturgie Marion Stoufflet
Régie son Christophe Séchet
Regard complice Magaly Godenaire
Chorégraphie Mélody Depretz
Dans la presse
"Trois générations. Un exil. Et le silence… Sabrina Kouroughli propose au Théâtre de Belleville une lecture réussie de la fresque familiale d’Alice Zeniter." TTT - Télérama
"Sabrina Kouroughli adapte et met en scène le roman d’Alice Zeniter en réunissant Yema, la grand-mère, et Naïma la petite-fille qui reconstitue le puzzle de sa famille et interroge ses racines pour se reconstruire!" La Terrasse
"D'origine algérienne comme Alice Zeniter, Sabrina Kouroughli lui donne sa vérité vérité, sa justesse de ton, ses larmes refoulées, son ironie. Elle a adapté le texte et signé la mise en scène: c'est une réussite." Le Canard Enchaîné
"La comédienne et metteuse en scène Sabrina Kouroughli adapte avec finesse le roman multiprimé d’Alice Zeniter, L’Art de perdre, vaste fresque d’une famille entre l’Algérie et la France. Une création savoureuse et profonde sur la perte et la transmission." La Croix
"Sabrina Kouroughli adapte le très beau roman d'Alice Zeniter en quête de réconciliation avec la mémoire de sa famille (...) Une fragilité qu'incarne magnifiquement Sabrina Kouroughli de sa voix tremblante formulant l'incertitude et les hésitations d'une jeune femme en perpétuelle construction (...) L'humour qui traverse le spectacle de bout en bout permet de ne jamais tomber dans le pathos." Mediapart
"La force du spectacle, joli trio plein de délicatesse, c'est de faire entendre la langue de Zeniter, drôle et précise, percutante et émouvante. Au final, une adaptation intelligente qui recentre le récit sur la transmission. Délicat et important." Le Parisien
"Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité !" Sceneweb
"Sabrina Kouroughli, la séduction même [...] elle est magnifique [...] Un grand travail. Théâtral et civique. Sensible, plein de cœur et d'âme. Cela donne envie de lire Alice Zeniter. Encore plus."
Le journal d'Armelle Héliot
"[..] Un spectacle tout en finesse et délicatesse qui avance par petites touches, qui libère maux et mots avec infinie tendresse. [..]" Chantiers de culture
"Un regard juste sur notre histoire collective. Sabrina Kouroughli signe une adaptation de L'Art de perdre sous la forme d'une enquête mémorielle et onirique. Entre silence et fantasme, la metteuse en scène campe une Algérie ambiguë, une relation aux origines où rien ne va de soi. La Naïma d'Alice Zeniter (Sabrina Kouroughli) assume une algérianité fébrile et névrosée qui cherche à vocaliser les silences qui l'enveloppent – sur le plateau, le noir domine et spatialise un rituel d'exhumation des mémoires." IO Gazette
"Belle infidèle, l'adaptation que propose Sabrina Kouroughli convainc. (...) Sabrina Kouroughli brouille délicatement les frontières entre la fiction de départ et la confidence autobiographique. (...) Et le pari paie. La liberté de l'adaptation nous fait redécouvrir le texte. On l'entend dans sa dimension intime et historique (...) Bref, on a envie de relire le livre! Les trois coups
"Un spectacle tout en finesse et délicatesse qui avance par petites touches, qui libère maux et mots avec infinie tendresse. Une émotion à fleur de peau pour signifier la douleur de l'exil, d'hier à aujourd'hui, quand la mémoire n'oublie rien mais que le silence masque tout." Chantiers de culture
"L'ardente Sabrina Kouroughli porte le propos avec belle élégance, s'interrogeant face public, prenant le spectateur à témoin, à l'écoute des informations dispensées pour les commenter, dansant et s'oubliant un peu, avant de tout ressaisir encore, alerte et allègre, souriante et décidée. (...) Un spectacle lumineux de sensations mi-figue mi-raisin hissées jusqu'à la paix retrouvée avec soi." Hottello
"L'adaptation et la mise en scène de Sabrina Kouroughli qui tient également le rôle de Naïma est d'une redoutable efficacité dans une simplicité déroutante (...) Tout cela sans pathos avec un certain humour et même de la légèreté dans la gravité(...) Sabrina Kouroughli nous offre un bijou de théâtre, un écrin sur l'exil. (...) Si l'exil peut devenir un art de perdre, le théâtre que nous propose Sabrina Kouroughli est un art du gain." Snes
Production
Production Compagnie La Ronde de Nuit
Co-production Théâtre Gérard Philipe - CDN de Saint-Denis
Soutiens DRAC Île-de-France, Centquatre - Paris et Carreau du Temple - Paris
Réserver !
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Infos/Tarifs
Septembre
- Mer. : 19h15
- Jeu. : 19h15
- Ven. : 21h15
- Sam. : 21h15
À partir de 13 ans
Durée • 1h10
Tarif plein : 27€*
Tarif abonné.e : 12€*
Tarif réduit : 18€*
Tarif - de 26 ans : 12€*
Distribution
Texte Alice Zeniter
Mise en scène et adaptation Sabrina Kouroughli
Avec Fatima Aibout, Sabrina Kouroughli et Issam Rachyq-Ahrad
Collaboration artistique Gaëtan Vassart
Dramaturgie Marion Stoufflet
Régie son Christophe Séchet
Regard complice Magaly Godenaire
Chorégraphie Mélody Depretz
Dans la presse
"Trois générations. Un exil. Et le silence… Sabrina Kouroughli propose au Théâtre de Belleville une lecture réussie de la fresque familiale d’Alice Zeniter." TTT - Télérama
"Sabrina Kouroughli adapte et met en scène le roman d’Alice Zeniter en réunissant Yema, la grand-mère, et Naïma la petite-fille qui reconstitue le puzzle de sa famille et interroge ses racines pour se reconstruire!" La Terrasse
"D'origine algérienne comme Alice Zeniter, Sabrina Kouroughli lui donne sa vérité vérité, sa justesse de ton, ses larmes refoulées, son ironie. Elle a adapté le texte et signé la mise en scène: c'est une réussite." Le Canard Enchaîné
"La comédienne et metteuse en scène Sabrina Kouroughli adapte avec finesse le roman multiprimé d’Alice Zeniter, L’Art de perdre, vaste fresque d’une famille entre l’Algérie et la France. Une création savoureuse et profonde sur la perte et la transmission." La Croix
"Sabrina Kouroughli adapte le très beau roman d'Alice Zeniter en quête de réconciliation avec la mémoire de sa famille (...) Une fragilité qu'incarne magnifiquement Sabrina Kouroughli de sa voix tremblante formulant l'incertitude et les hésitations d'une jeune femme en perpétuelle construction (...) L'humour qui traverse le spectacle de bout en bout permet de ne jamais tomber dans le pathos." Mediapart
"La force du spectacle, joli trio plein de délicatesse, c'est de faire entendre la langue de Zeniter, drôle et précise, percutante et émouvante. Au final, une adaptation intelligente qui recentre le récit sur la transmission. Délicat et important." Le Parisien
"Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité !" Sceneweb
"Sabrina Kouroughli, la séduction même [...] elle est magnifique [...] Un grand travail. Théâtral et civique. Sensible, plein de cœur et d'âme. Cela donne envie de lire Alice Zeniter. Encore plus."
Le journal d'Armelle Héliot
"[..] Un spectacle tout en finesse et délicatesse qui avance par petites touches, qui libère maux et mots avec infinie tendresse. [..]" Chantiers de culture
"Un regard juste sur notre histoire collective. Sabrina Kouroughli signe une adaptation de L'Art de perdre sous la forme d'une enquête mémorielle et onirique. Entre silence et fantasme, la metteuse en scène campe une Algérie ambiguë, une relation aux origines où rien ne va de soi. La Naïma d'Alice Zeniter (Sabrina Kouroughli) assume une algérianité fébrile et névrosée qui cherche à vocaliser les silences qui l'enveloppent – sur le plateau, le noir domine et spatialise un rituel d'exhumation des mémoires." IO Gazette
"Belle infidèle, l'adaptation que propose Sabrina Kouroughli convainc. (...) Sabrina Kouroughli brouille délicatement les frontières entre la fiction de départ et la confidence autobiographique. (...) Et le pari paie. La liberté de l'adaptation nous fait redécouvrir le texte. On l'entend dans sa dimension intime et historique (...) Bref, on a envie de relire le livre! Les trois coups
"Un spectacle tout en finesse et délicatesse qui avance par petites touches, qui libère maux et mots avec infinie tendresse. Une émotion à fleur de peau pour signifier la douleur de l'exil, d'hier à aujourd'hui, quand la mémoire n'oublie rien mais que le silence masque tout." Chantiers de culture
"L'ardente Sabrina Kouroughli porte le propos avec belle élégance, s'interrogeant face public, prenant le spectateur à témoin, à l'écoute des informations dispensées pour les commenter, dansant et s'oubliant un peu, avant de tout ressaisir encore, alerte et allègre, souriante et décidée. (...) Un spectacle lumineux de sensations mi-figue mi-raisin hissées jusqu'à la paix retrouvée avec soi." Hottello
"L'adaptation et la mise en scène de Sabrina Kouroughli qui tient également le rôle de Naïma est d'une redoutable efficacité dans une simplicité déroutante (...) Tout cela sans pathos avec un certain humour et même de la légèreté dans la gravité(...) Sabrina Kouroughli nous offre un bijou de théâtre, un écrin sur l'exil. (...) Si l'exil peut devenir un art de perdre, le théâtre que nous propose Sabrina Kouroughli est un art du gain." Snes
Production
Production Compagnie La Ronde de Nuit
Co-production Théâtre Gérard Philipe - CDN de Saint-Denis
Soutiens DRAC Île-de-France, Centquatre - Paris et Carreau du Temple - Paris